Pepe Romero et Neville Marriner n’ont décidément rien compris au Concerto d’Aranjuez … Adios. Là, on a ­affaire à des super-pros  » s’écrie BD ! C’est une vision « moderne », qui manque peut-être un peu de liberté par rapport à celle de Moreno  » (BD). La prestation du violoncelle vaut, à elle seule, la palme du nanar de cette discographie (Forlane ou Novalis, 1994). Dans l’Adagio, cette prudence se transforme en fausse simplicité larmoyante, avec des silences-soupirs trop appuyés (ET), trop affectés (BD). Et BD de conclure : c’est la version  » idiomatique par excellence, lumineuse « . Sa popularité est si grande que des transcriptions ont été réalisées avec succès pour des quartets de jazz, pour des chansons populaires en plusieurs langues avec d'innombrables enregistrements... \". ET remarque le  » caractère aérien du guitariste « , desservi par  » un orchestre trop terrien, qui ne dialogue pas avec le soliste « , jugement que partage BD, ajoutant que l’orchestre, trop lourd,  » n’a pas la même hauteur de vue que le guitariste « . À vouloir faire  » joli « , on en oublie le naturel. ET souligne la  » pluie d’intentions maîtrisées « , mais pour lui, cette version séduisante, réfléchie, calculée,  » man­que peut-être un peu d’improvisations, du côté virtuose constitutif de l’œuvre « . 6. Charles Dutoit, avec Carlos Bonell et l’Orchestre symphonique de Montréal (Decca, 1981) impose une vigueur très sèche. Aujourd'hui sur Rakuten, 165 Concerto D Aranjuez vous attendent au sein de notre rayon . e�x��K��6�/egJ�S�W[�����L�w�2ށC����f\5�ӅV%Z��4��Uw�xy��W�o���Y��#/ַ|�D��,�Ƙ�X��A�)��KO[*{��3-F�@YY�ϙ�o��^�SWTz����,��~�%�Z endstream endobj 217 0 obj <>stream Autre enregistrement pénalisé par sa prise de son, celui où Andrew Litton dirige le Royal Philharmonic Orchestra. Nous regrettons surtout de n’avoir pu écouter quelques versions qui ont certainement leur intérêt : pour l’orchestre – le Philharmonique de Berlin, rien que cela ! Pour ce dernier, les deuxième et troisième mouvements sont ratés, le rapport soliste-orchestre est déséquilibré,  » avec des accents stravinskiens dérangeants « . Plusieurs chefs célèbres ont voulu graver le Concerto d’Aranjuez afin d’avoir ce tube discographique à leur catalogue. Et, c’est un vrai bonheur que de s’attaquer à une telle œuvre. Pour BD, qui goûte son plaisir, cette version au tempo sage a su  » fusionner les caractères populaire et raffiné de ce chef-d’œuvre « . Le fameux Adagio est à l’opposé des versions qui sollicitent l’émotion : les mots qui viennent sont ceux de « simplicité, évidence  » (ET), de  » naturel  » (PD), de  » confidence  » (BD). » (PD) Les acteurs de cette version manifestent finalement peu de sentiments, avec un soliste trop en avant. rK'�C�ƒ�������kJ����^ر�ݳV8j�g�Ɯi��3�%"kB��B��[�h8]�Ooׅyc�� �-�^�om��s�M/��6V*�6K�VCc-�P�0�v !�8K�h�y��z41�nz�l?G�5��⥏��P�ԡs��ܩؽ��� |����{���E=|:��N�X}�Mg37� ���|Ֆ>߁a�M,u����J���u�3� �ѥG\4]�Q�4HOC���v���q��W\z(��6uJ�|s�Fi�n�k+�,�O�ȕ� ;�b�x�"�7��es�0��dj?BRE���ח S0ZK��JS�Cc�s�����%�?��R�b���Lm��Q���>���#�"~� .�(��b�kL��՝����u��6��&��d�N /�/��5�0�$Z �{ ET va jusqu’à juger ce mouvement  » décoratif, avec une fausse simplicité trop soignée, où l’ornementation ne joue plus son rôle tant tout semble écrit : plus de sensualité et de chaleur auraient été bienvenus « . You may also find concierto de aranjuez trumpet pdf sheet music on Sheet Music Plus. 1 Concerto Fantastico; Décidément, après Pepe Romero, Alexandre Lagoya et Julian Bream, ce disque confirme que les très grands noms de la guitare n’ont pas été les meilleurs serviteurs du Concerto de Joaquín Rodrigo. À l’inverse, Erich Kunzel et le Naples Philharmonic Orchestra écrasent la guitare de David Russell, qui est de toute façon sirupeuse (Telarc, 1997). Pepe Romero, Neville Marriner et l’Academy of St. Martin-in-the-Fields ont abordé le concerto deux fois au disque (Decca et Philips, 1979 et 1992, réédité en 2005 avec un DVD biographique très intéressant,  » Shadows and light « , en anglais seulement, sous-titré en espagnol, ou inversement, selon les séquen­ces). Socías/Pons 216 0 obj <>stream ET tempère cependant : Julian Bream est  » remarquable et ne pourra que réjouir les amateurs de guitare  » (ET).C’est clair, Marco Socías et Josep Pons veulent frapper un grand coup, faire du neuf, lorsqu’ils enregistrent le Concerto en 2001. The Concierto de Aranjuez was inspired by the gardens at Palacio Real de Aranjuez, the spring resort palace and gardens built by Philip II in the last half of the 16th century and rebuilt in the middle of the 18th century by Ferdinand VI.The work attempts to transport the listener to another place and time through the evocation of the sounds of nature. Comme on peut le concevoir, la discographie est pléthorique : nous avons recensé près de soixante-dix versions. Angel ­Romero, d’abord avec Victor Alessandro et l’Orchestre symphonique de San Antonio, confond douceur et sirupeux, énergie et hystérie (Philips ou Mercury, 1968). Le deuxiè­me mouvement, le célèbre Adagio, est en fait une supplication adressée à Dieu : qu’il ne lui prenne pas la vie de sa femme Victoria, qui venait d’accoucher d’une petite fille de sept mois mort-née. Quant au Finale, si difficile à réussir, il est enfin ici la danse de cour voulue par le compositeur, où l' » espagno­lisme rodriguien est magnifié  » (PD). De quoi nourrir vos convictions personnelles avec la référence Concerto D Aranjuez si la seconde main fait partie intégrante de vos habitudes d'achat. Ajouté le 19-02-2019 • • • Viviani, Giovanni ... Joaquín Rodrigo: Concerto D'Aranjuez: Orchestra: Miniature Score Dès les premières notes, chacun salue la parfaite entente entre Alfonso Moreno et l’orchestre de Bátiz, magnifique de subtilité. Tout est  » décanté, on pense à Haydn ou De Falla, mais cela demeure sympathique, et d’une souplesse appréciable « . Club, Abonnement presse numérique Lagoya/de Almeida ............................. Ce chef-d’œuvre universellement connu, à la discographie pléthorique, est un véritable défi, non seulement pour le soliste mais aussi pour l’orchestre. Sa version avec le LSO et André Previn est pénalisée par une prise de son lourde, peu définie (Philips, 1977). BBC Music MM255 On a le sentiment que le microphone est collé dans la guitare, soulignant ainsi le déséquilibre guitare-orchestre, équilibre si important dans cette œuvre. Et la formule qui revient dans la bouche de chacun des auditeurs est celle de  » guitare qui parle « . Jean-Paul TRIOULET mon frère a commencé la trompette vers l'âge de huit ans il a (soixante-huit ans) aujourd'hui, il a fait le conservatoire de musique à Béziers, c'est un grand musicien trompettiste professionnel dans sa vie, il a joué avec de grands orchestres et avec les plus grands. Nous n’avons hélas pas pu écouter l’autre version de Sáinz de la Maza, avec l’Orchestre Manuel de Falla, sous la direction de Cristo­bal ­Halffter (RCA Victor, 1962). On retrouve cette simplicité tout au long de l’Adagio, mais BD estime que Yepes  » manque de panache  » à vouloir être trop pudique, tout semble être trop mesuré, calculé. Les trois mouvements sont d’une grande sensibilité, exprimant tout  » l’espagnolisme rodriguien « , si particulier, un espagnolisme qui ne tombe jamais dans  » l’espagnolade  » ni dans la trivialité. Sur le site de jean-christian Michel elle n'est plus dispo. Voici donc le même concerto mais en ut mineur : orgue, trompette en Sib et trompette en Ut. PD estime que les interprètes, à vouloir être proprets, sont trop sages, et linéaires dans le premier mouvement, et espère un grain de folie dans l’Adagio et le Finale. Même superbe équilibre entre le soliste et l’orchestre, qui n’est rien moins que le LSO, avec Alfonso Moreno et Enrique Bátiz (EMI/ Brilliant, 1981), idiomatiquement  » rodriguiens « . Tout le monde est cependant d’accord pour constater que la prise de son n’aide pas : l’orchestre manque de présence, même si  » la guitare est bien insérée dans l’orchestre, contrairement à d’autres enregistrements très artificiels  » (BD). Concerto III RV 310 (principal) - compositeur Vivaldi, Antonio PARTITION; Concerto IV RV 550 (principal) - compositeur Vivaldi, Antonio PARTITION; Concerto VI RV 356 (principal) - compositeur Vivaldi, Antonio PARTITION; Concerto III in G RV 310 (principal) - compositeur Vivaldi, Antonio PARTITION Son attente ne sera pas récompensée. Joaquín Rodrigo et sa femme Victoria sont restés silencieux pendant de nombreuses années sur la création du second mouvement, ce qui permit la naissance d'une rumeur selon laquelle il serait inspiré du bombardement de Guernica e… �ȷJ���8�PB���O�v{��1[`T�&��j���vi8�p���f��A�Ea�v���������M} 7�{9Q�ܯ`�z�E�����]��J� endstream endobj 218 0 obj <>stream Eduardo Fernández, Miguel ­Angel Gomez Martinez et l’Orchestre de chambre anglais proposent une version sans cohérence, sans tension ni mystère (Decca, 1986). sur epresse.fr, Les Echos Bourse – C’est donc une Espagne intérieure, éternelle, heureuse, fantasmée, pas celle du général Franco (mais on la reconnaîtra peut-être dans l’adaptation de Miles Davis à la trompette du Con­certo d’Aranjuez, d’une tristesse infinie…). Mais, c’est le revers de la médaille, BD souligne  » son caractère décousu, manquant de fluidité « . Le syndicat national du spectacle musical et de variété dans le privé dénonce des aides... Voyages Radio Classique, croisières et thalasso musicales, Les Echos Wine Restent enfin quelques ratages notables, que les collectionneurs pourront rechercher : Brabec/ Tylsar, tristounets et sans nerf, lentissimes (Supraphon, 2002) ; Conn/ Lubbock, creux et vides, appliqués et sans contenance (IMP, 1987) ; Jouanneau/Ray­tchev, poussifs, piétons, sombrant dans la caricature (Frémeaux, 1993) ; Dyens/Siranossian qui confondent Rodrigo avec Borodine ou la sierra espagnole et les steppes de l’Asie centrale (L’Empreinte Digitale, 1997). Parisienne, Les Echos Ce léger manque de brillant est en fait ressenti dans les deux derniers mouvements. Vinrent ensuite l’Orchestre philhar­monique de Londres sous la direction de Luis Antonio García Navarro (DG, 1979), l’Orchestre philharmonique d’Espagne et Frühbeck de Burgos (Forlane, 1985), enfin l’Orchestre symphonique de la RAI, sous la baguette de Riccardo Muti (Fonit Cetra, 1989). ... Concerto d'aranjuez (from mark herman's les virtuoses, howard hawks' rio bravo, gus van sant's a la rencontre de forrester) Les plus belles musiques de films: Thèmes classiques. Nous préférons le  » tube  » avec García Navarro, du fait de la notoriété de cette version, qu’il sera intéressant de confronter avec les autres candidats à l' » in­ves­titure suprême « . »  » C’est chose faite  » déclara Joaquín, euphorique, car il avait écumé quel­ques verres de bon vin. De ce point de vue, la version  » princeps  » du créateur, Regino Sáinz de la Ma­za, avec l’Orchestre national d’Espagne diri­gé par Ataúlfo Argenta (Doremi, 1948) laisse entendre, malgré le pleurage de la bande, une interprétation très objective, sans senti­mentalisme déplacé. des Arts. Le Concerto d'Aranjuez (pour guitare et orchestre) fut composé en 1939 par le compositeur espagnol Joaquin Rodrigo. Investir, La Avec Marco Socías Casquero, Josep Pons et le Granada City Orchestra offrent un dosage guitare-orchestre magnifiquement équilibré – et l’Adagio est une référence (Harmonia Mundi, 2003). Cette œuvre répondait à une commande du marquis de Bolarque, grand amateur de musique, rencontré fin août 1938 à San Sebastián, lors d’un déjeuner où se trouvait également le guitariste Regino Sáinz de la Maza :  » Pourquoi n’écris-tu pas un concerto pour guitare et orchestre ? Et plus que cela encore :  » Ici, pas de lyrisme ni de vibrato déplacé, mais une vision acérée, drue, précise, équilibrée et détaillée. Charles Groves, (CBS, 1968), puis avec un gros Orchestre de Philadelphie, musclé, aux ordres d’Eugene Ormandy, une version sensuelle mais quelque peu hachée (Sony, 1972), puis de nouveau avec l’Orchestre de cham­bre anglais et Daniel Barenboim, où la prise de son dessert une interprétation trop uniforme (CBS, 1974), enfin avec l’Orchestre philharmonique de Londres dirigé par Louis Frémeaux, version linéaire et bridée (Sony, 1984). Piano Concerto No. Baritone T.C. Mais l’enregistrement de Fernández avec Adrian Leaper et l’Orchestre d’Ulster est surprenant : apaisé, sans ostentation, doté d’un équilibre guitare-orchestre impeccable, il fait un bel outsider pour notre écoute en aveugle (BBC Music, 2002). La guitare de Sharon Isbin est diablement séductrice, fine, et précise de surcroît mais avec l’orchestre, le mariage ne prend pas, et cette succession de gros plans manque de fondus, de liberté, de nonchalance. Jean-Christian Michel Clarinette, Miles Davis Trompette, Modern Jazz Quartet Lewis Piano, Richard Anthony Chanté, Nicolas … Voilà de la vraie virtuosité ! » Pour BD, cette  » surabondance d’effets, de finesse et de joliesse  » est séduisante de prime abord, mais finit par lasser : il constate lui aussi que  » le Finale finit par ressembler à du Stravinsky ! Retrouvez tous les produits Concerto d'Aranjuez au meilleur prix à la FNAC. Tout est gros, PD en rit, tant  » l’enregistrement est laid, artificiel, transformant la guitare en youkoulélé, l’orchestre pléthorique « . Concerto de Aranjuez is a musical reverie on the gar… Rodrigo composed the Concerto de Aranjuez in 1940 on his return to Spain after the Civil War and debut performance of the work in Barcelona founded his international reputation. Segre/Noseda sont captés dans une prise de son d’un incroyable amateurisme : la respiration du soliste devient l’instrument soliste (Claves, 1994). » À vouloir absolument faire du neuf avec force artifices et intentions, cette version manque singulièrement de sincérité. » Mais ce Finale légèrement insatisfaisant ne saurait faire oublier la force des deux premiers mouvements de cette version.Eduardo Fernandez est l’outsider de cette écoute en aveugle. Solutions, Les Echos Euphonium et Trompette / Intermédiaire / 4 PDF Arrangeur : Messerschmidt, Hans Jorgen. Pepe Romero/ Marriner (15585) Concerto pour trompette de Leopold Mozart: midi, orgue et trompette (11537) Ce concerto était disponible depuis 2001, mais j'ai enfin écrit une réduction pour orgue de l'accompagnement orchestral. Tous sont d’accord avec BD, PD précisant que  » la prise de son est pour beaucoup dans cette réussite superlative. X���c^Ӣ�{��gX�0��}��?���a~��Us;�:M�R���ȷ��q硏�Ǻ�i��xM.�ϵK����J�f���h_dMw"C3@V:�M�d�+%�m$ -����?��T��F��W��l�\M�T���aL(:z�4=Ngҧ^~��㊦�d�Y������'��^�q�1������e`��3��Fӽ�����g���N�6��{+���y���p����� ˽�Ta�Q���q�S,"2�S�İ�_5g���1�����19_}��r:�:���7h_[� ��*u%���������=���F��'��ś��~�f�������l��y�-"*���U��)��~]��'�R���K5�U�C� endstream endobj 1 0 obj <�"�>�9�n'���i'�z��U��b�����a؛\rb͸)/ModDate(�g��O�߅�þ�h]*wUWҔ�{ vÊ�����������U'�a�t�)/Producer( ^C-�\n��oW�:�M���V��[�!X��L�Ft�^[��}�}&q�VNT�LM��yW�\\J�$��d\)�C��W�@=g�)/Title(BY�3�4p�u�Z�s!W������?p��2�g)>> endobj 2 0 obj <><><>]/ON[149 0 R]/Order[]/RBGroups[]>>/OCGs[149 0 R]>>/Pages 3 0 R/Type/Catalog>> endobj 4 0 obj <> endobj 92 0 obj <> endobj 93 0 obj <>stream » Quel orchestre ! La guitare de Christopher Parkening semble énorme. Ils ne sont pas les seuls : on ajoutera, dans cette catégorie, Kircher/Machado (Madacy Records, 2001), Quevedo/Du­nand (Madrid Music, 1978), Zaradin/Barbier (EMI, 1972), Zsapka/ Warchal (Brilliant, 2005), Muraji/Pérez (Decca, 2008), Yamashita/Yamaoka (RCA, 1979), Yamashita/Paillard (RCA, 1986), Kubedo/Ferrer (Belter, 1970). C’est bien là la force de cette version :  » sa grande qualité de finition ne l’empêche pas de posséder un vrai caractère  » (BD). 4. Et cela, aussi bien du côté du neuf que des produits Concerto D Aranjuez occasion. One of its tracks was an extended version of the second movement of “Concierto de Aranjuez,” recorded on November 20, 1959. Consultez des crédits, des avis, des pistes et achetez la référence 1980 Vinyl de Les 16 Merveilles Du Monde De La Trompette sur Discogs. Pourtant, ce sera la première grande déception de cette audition en aveugle. Curieusement, l’autre enregistrement de Moreno est un des pires de la discographie, en raison d’un orchestre particulièrement lamentable, l’Orchestre symphonique Carlos Chavez dirigé par Fernando Lozano (Novalis, date non précisée). Sharon Isbin a enregistré l’œuvre trois fois, d’abord avec l’Orchestre symphonique métropolitain de Tokyo, dirigé par Hideomi Kuroiwa (Denon, 1981), avec l’Orchestre de cham­bre de Lausanne, sous la direction de Lawrence Foster, avec un orchestre inégal et des baisses de tension (Virgin, date non précisée), et avec le New York Philharmonic et José Serebrier, version majeure que nous réservons pour notre discographie comparée (Warner, 2004). n’ont pas la même hauteur de vue que le soliste, Manuel Barrueco (EMI, 1995). Plácido Domingo et le Philharmonia ne nous engluent pas dans le même sirop, mais l’orchestre est tout de même trop gros, lent, et les instruments solistes (le cor, ridicule !) Alexan­dre Lagoya, Anto­nio de Almeida et l’Orchestre national de l’Opéra de Monte-Carlo ont quant à eux livré une version sereine, techniquement irréprochable, version retenue pour notre écoute en aveugle (Philips, 1972). Le Concerto pour piano no 26 en ré majeur dit du Couronnement, K. 537, est un concerto pour piano de Mozart. En la situant en ce lieu, Aranjuez, Rodrigo a voulu lui imprimer une époque : la fin du xviiie et le début du xixe siècle, à la Cour de Charles iv et de Ferdinand vii. 8. RCA GD86525, © Radio Classique 2020 - Consentement RGPD, Le Concerto d’Aranjuez de Joaquín Rodrigo. We found 813 piece(s) of music matching your search. De toutes les versions retenues pour cette audition en aveugle, c’est celle de Julian Bream qui va le plus décevoir. Le Concerto d’Aranjuez tient son nom de la fameuse résidence royale située à 50 km de Madrid. Son enregistrement avec l’Orchestre symphonique de la Radio-télévision espagnole, dirigé par Odón Alonso (DG, 1969), possède un charme et une chaleur très particuliers. The first of Joaquin Rodrigo's attempts at composition for the concerto genre Concierto De Aranjuez quickly became the most popular and recognizable of his works. La couleur hispanique de la guitare de Narciso Yepes,  » un peu sèche, un peu rude, néoclassique même, avec de beaux détails « , plaît à ET :  » Ça sonne espagnol ! Isbin/Serebrier BD apprécie  » la concentration, le sérieux de cette exécution « . La version de Sharon Isbin est immédiatement décrite comme une version  » andalouse  » par ET :  » On n’est plus dans la carte postale pour touristes, mais dans le terroir. » On retrouve un peu l’esprit classique et élégant de Lagoya chez le guitariste, mais avec un orchestre très délié, aux couleurs un peu brutes : c’est un bon compromis. Enfin, ni du Stravinsky, ni du Poulenc, ni du Ravel, mais du Rodrigo ! %PDF-1.6 %���� ET croît y entendre  » une fausse simplicité à la Poulenc « . Finance, Connaissance ET aurait souhaité, dans l’Adagio,  » que le soliste ne joue pas seulement avec les notes mais aussi avec sa guitare « . C’est la  » version que l’on peut écouter maintes fois sans se lasser, mais qui aurait mérité plus de folie dans le Finale « . Le soliste, avec une grande liberté, communique  » un sentiment d’improvisation, même dans les passages les plus écrits. Les couleurs de l’orchestre sont vives, la guitare alerte dans le premier mouvement, et même si ce n’est pas tellement naturel dans l’Adagio, c’est tellement beau ! 3. Göran Söllscher et l’Orpheus Chamber Orchestra ­donnent ici une version symphonique,  » presque trop  » remarque-t-il, mais  » quel panache, quel lyrisme  » !